Le concept de clean label est assez vaste. Concrètement, le concept vise à simplifier la liste des ingrédients, à incorporer de la transparence et à n’utiliser que des produits naturels ou d’origine naturelle. Zoom sur l’origine du concept et sur les tendances qui en découlent. Qu’en est-il au niveau réglementaire ? Plus d’explications dans cet article !
L’origine du concept
Le clean label a plusieurs objectifs pour le consommateur. D’une part, il a pour but de réduire la liste des ingrédients à son strict minimum et de supprimer les ingrédients et additifs synthétiques. D’autre part, il vise aussi l’augmentation de l’utilisation des ingrédients naturels/d’origine naturelle ou encore la clarification de la liste des ingrédients pour la rendre lisible par les consommateurs.
De plus en plus, le clean label propose des produits avec des listes d’ingrédients claires et transparentes, compréhensibles et avec des ingrédients naturels. Les allégations telles que « 100% naturel » suscitent beaucoup d’intérêt chez les consommateurs.
Clean label : Une tendance qui ouvre des opportunités pour l’innovation !
Le clean label est une attente grandissante sur les marchés : il s’agit, pour les consommateurs, de retrouver une alimentation authentique, naturelle, et qu’ils comprennent (étiquetage et emballage moins complexes). Il est de plus en plus d’usage de venir compléter le concept de clean label par celui de clear label afin d’apporter la clarté nécessaire.
En se penchant sur une enquête de Hartman Group concernant le clean label dans l’esprit des consommateurs, 4 grandes tendances s’en dégagent.
Tout d’abord, le « Naturel » comme expliqué précédemment mais pas uniquement sur le produit en soi, mais aussi sur le packaging, le process et le concept produit-santé. Le consommateur recherche des simplifications relatives à la recette, la fabrication, le traitement, et l’élimination des additifs/ingrédients qui ont une connotation trop industrielle et une mauvaise réputation.
L’aspect « Local » qui englobe la saisonnalité, l’empreinte carbone et la durabilité est également très important. Les consommateurs attendent des marques qu’elles communiquent et agissent en toute transparence. Ces nouveaux comportements d’achat et de nouvelles attentes des consommateurs se renforcent, accélérés en partie par la crise Covid-19.
Ensuite, l’aspect « Bio », et l’aspect « Frais » sont aussi à prendre en compte. Ces aspects sont moins récents mais suscitent encore plus d’intérêt que par le passé. En effet, pour la plupart des consommateurs, une consommation « verte » est synonyme de « naturelle », c’est-à-dire une alimentation sans produits chimiques, ingrédients artificiels, organismes génétiquement modifiés (OGM), moins transformée et issue de l’agriculture biologique.
Il est donc avéré que les consommateurs d'aujourd'hui recherchent de plus en plus d’aliments auxquels ils peuvent faire confiance, notamment des aliments sains et proches de la nature. Dans le monde entier, les fabricants de toutes les catégories et de tous les circuits innovent et évoluent pour répondre à la demande des consommateurs en matière d'étiquetage propre. De plus, une vraie opportunité existe dans l’explication des ingrédients utilisés aux consommateurs pour augmenter davantage la transparence et la compréhension.
Actuellement, l’industrie fait beaucoup d’efforts pour trouver des solutions qui répondent aux besoins des consommateurs. Des solutions naturelles utilisant des processus naturels permettent d’offrir une labellisation transparente et claire.
Un champ de possibilités encore vaste à explorer !
Une circulaire pour aider les entreprises agroalimentaires
Il n’existe toutefois aucune définition officielle et encore moins légale du clean label.
Cela peut poser des problèmes aux industriels constamment à la recherche de nouveaux produits répondant aux besoins du consommateur. En effet, ceux-ci souhaitent atteindre le clean label mais ne sont pas forcément au courant des réglementations à respecter.
Il est de ce fait essentiel de bien se faire accompagner dans l’utilisation de ces ingrédients ou du terme clean label. De plus, pour des questions de coût et de faisabilité, les industriels ont bien souvent des difficultés à se passer de l’utilisation d’additifs artificiels et d’autres substances dans la fabrication de leurs produits.
C’est pourquoi l’AFSCA a récemment émis une circulaire ayant pour but de clarifier les règles applicables à l’utilisation d’ingrédients et pour aviser les producteurs des possibilités dans ce secteur intéressant et toujours en évolution…
Wagralim développe le sujet à son event annuel
Cette thématique vous intéresse ? Le 23 septembre, assistez à un séminaire sur le clean label au Bois du Cazier à Charleroi. Un expert juridique vous aidera à comprendre l’aspect réglementaire du clean label.
Les sociétés Galactic et Detry seront également présentes pour vous partager leur expérience.
Le concept de clean label est assez vaste. Concrètement, le concept vise à simplifier la liste des ingrédients, à incorporer de la transparence et à n’utiliser que des produits naturels ou d’origine naturelle. Zoom sur l’origine du concept et sur les tendances qui en découlent. Qu’en est-il au niveau réglementaire ? Plus d’explications dans cet article !
L’origine du concept
Le clean label a plusieurs objectifs pour le consommateur. D’une part, il a pour but de réduire la liste des ingrédients à son strict minimum et de supprimer les ingrédients et additifs synthétiques. D’autre part, il vise aussi l’augmentation de l’utilisation des ingrédients naturels/d’origine naturelle ou encore la clarification de la liste des ingrédients pour la rendre lisible par les consommateurs.
De plus en plus, le clean label propose des produits avec des listes d’ingrédients claires et transparentes, compréhensibles et avec des ingrédients naturels. Les allégations telles que « 100% naturel » suscitent beaucoup d’intérêt chez les consommateurs.
Clean label : Une tendance qui ouvre des opportunités pour l’innovation !
Le clean label est une attente grandissante sur les marchés : il s’agit, pour les consommateurs, de retrouver une alimentation authentique, naturelle, et qu’ils comprennent (étiquetage et emballage moins complexes). Il est de plus en plus d’usage de venir compléter le concept de clean label par celui de clear label afin d’apporter la clarté nécessaire.
En se penchant sur une enquête de Hartman Group concernant le clean label dans l’esprit des consommateurs, 4 grandes tendances s’en dégagent.
Tout d’abord, le « Naturel » comme expliqué précédemment mais pas uniquement sur le produit en soi, mais aussi sur le packaging, le process et le concept produit-santé. Le consommateur recherche des simplifications relatives à la recette, la fabrication, le traitement, et l’élimination des additifs/ingrédients qui ont une connotation trop industrielle et une mauvaise réputation.
L’aspect « Local » qui englobe la saisonnalité, l’empreinte carbone et la durabilité est également très important. Les consommateurs attendent des marques qu’elles communiquent et agissent en toute transparence. Ces nouveaux comportements d’achat et de nouvelles attentes des consommateurs se renforcent, accélérés en partie par la crise Covid-19.
Ensuite, l’aspect « Bio », et l’aspect « Frais » sont aussi à prendre en compte. Ces aspects sont moins récents mais suscitent encore plus d’intérêt que par le passé. En effet, pour la plupart des consommateurs, une consommation « verte » est synonyme de « naturelle », c’est-à-dire une alimentation sans produits chimiques, ingrédients artificiels, organismes génétiquement modifiés (OGM), moins transformée et issue de l’agriculture biologique.
Il est donc avéré que les consommateurs d'aujourd'hui recherchent de plus en plus d’aliments auxquels ils peuvent faire confiance, notamment des aliments sains et proches de la nature. Dans le monde entier, les fabricants de toutes les catégories et de tous les circuits innovent et évoluent pour répondre à la demande des consommateurs en matière d'étiquetage propre. De plus, une vraie opportunité existe dans l’explication des ingrédients utilisés aux consommateurs pour augmenter davantage la transparence et la compréhension.
Actuellement, l’industrie fait beaucoup d’efforts pour trouver des solutions qui répondent aux besoins des consommateurs. Des solutions naturelles utilisant des processus naturels permettent d’offrir une labellisation transparente et claire.
Un champ de possibilités encore vaste à explorer !
Une circulaire pour aider les entreprises agroalimentaires
Il n’existe toutefois aucune définition officielle et encore moins légale du clean label.
Cela peut poser des problèmes aux industriels constamment à la recherche de nouveaux produits répondant aux besoins du consommateur. En effet, ceux-ci souhaitent atteindre le clean label mais ne sont pas forcément au courant des réglementations à respecter.
Il est de ce fait essentiel de bien se faire accompagner dans l’utilisation de ces ingrédients ou du terme clean label. De plus, pour des questions de coût et de faisabilité, les industriels ont bien souvent des difficultés à se passer de l’utilisation d’additifs artificiels et d’autres substances dans la fabrication de leurs produits.
C’est pourquoi l’AFSCA a récemment émis une circulaire ayant pour but de clarifier les règles applicables à l’utilisation d’ingrédients et pour aviser les producteurs des possibilités dans ce secteur intéressant et toujours en évolution…
Wagralim développe le sujet à son event annuel
Cette thématique vous intéresse ? Le 23 septembre, assistez à un séminaire sur le clean label au Bois du Cazier à Charleroi. Un expert juridique vous aidera à comprendre l’aspect réglementaire du clean label.
Les sociétés Galactic et Detry seront également présentes pour vous partager leur expérience.